Dimanche 26 novembre, 8h00 du matin : deux agents de police - un pour les passeports autres que UE, l'autre pour la ligne rapide. Les multiples aubettes adjacentes désespérément vides malgré la foule. Deux heures d'attente et plusieurs policiers, café à la main, n'assistant aucunement leur collègue en pleine cadence de tamponnage de passeports. Bref, un passage absolument pas fluide, une queue interminable devant (comme derrière) nous qui, semble-t-il, aurait pu être évitée... Je me suis retrouvé à la police aux frontières dans de multiples pays avancés comme émergents, me retrouvant parfois au milieu de foules gigantesques ; mais j'avoue n'avoir jamais vu un tel manque de fluidité depuis que je voyage. La première porte vers la France n'a pas donné une bonne image du pays ce jour là.